Produire un cours Sator, rémunérer les équipes qu’il y a derrière comme les professeurs dignement, c’est un budget très conséquent. Nous sommes par ailleurs 100% indépendants, la condition sine qua none pour produire un contenu d’excellence au plus proche possible de la justesse.
La connaissance de pointe que nous offrons est produite par des hommes et des femmes qui ne se nourrissent pas – seulement - d’amour et d’eau fraîche. Dans la sphère culturelle française, nous avons du mal à le concevoir, car l’école est gratuite, nous avons Radio France, Arte… et des Youtubeurs très actifs. Mais ces situations sont souvent précaires, comme la rémunération du travail intellectuel en général dans notre pays. Même nos meilleurs chercheurs du CNRS sont très peu rémunérés.
Chez Sator, notre mission est aussi de changer cela : rémunérer dignement le travail intellectuel pour permettre aux plus avant-gardistes de se dégager du temps de recherche et de transmission.
Dans la société de la connaissance que nous devons faire advenir, l’immatériel doit pouvoir se valoriser autant que le matériel. Sans cela, comment faire diminuer les flux de matière qui détruisent notre planète ?
De plus, nous offrons chez Sator une connaissance opérationnelle, dont le but est qu’elle augmente les capacités concrètes de qui suit un cours. C’est donc un investissement, et non une dépense.