Évaluation de l’impact social dans les arts

Les laboratoires d'action se concentrent sur un sujet spécifique identifié comme important pour les artistes, la communauté et les membres d'Arts Ottawa. Ils peuvent prendre la forme de groupes de recherche, d'équipes de planification, de centres de plaidoyer ou d'espaces pour le partage d'idées et la collaboration. Les laboratoires sont formés en réponse à des besoins clairs et concluent une fois leurs objectifs sont atteints, tels que la réalisation d'un projet ou le partage d'idées avec la communauté.

Arts Ottawa a lancé leur Laboratoire d'action pour l'évaluation de l'impact social, y compris un appel ouvert pour les candidats de tous stades de carrière à s'engager dans l'apprentissage réciproque autour de l'évaluation de l'impact social, l'engagement communautaire et les pratiques de narration à travers les disciplines.

Les avantages supplémentaires incluent :

- Allocation de 500 $ pour les coûts associés aux activités d’apprentissage et à la réalisation du projet.

- Accès aux ateliers et ressources en cours, y compris un forum d’apprentissage en ligne.

- Engagement avec une cohorte diversifiée de pairs pour l’apprentissage et le réseautage.

Chaque leader artistique aborde l'impact différemment, certains prospèrent sur les données, certains dirigent avec cœur et d'autres pensent en siècles, pas en trimestres.

Ce quiz est conçu pour vous aider à découvrir votre personne d'impact sur les arts, basé sur les cinq mentalités identifiées dans le calculateur d'impact sur les arts, développé par Arts Ottawa. Que vous soyez un créateur, collaborateur, optimiseur, défenseur ou philosophe, chaque personne reflète une façon unique de penser l'impact, la prise de décision et le récit dans votre travail.

Commençons par identifier votre PERSONNE D’IMPACT ARTISTIQUE.

C'est quoi votre nom complet ?

C'est quoi votre adresse e-mail ?

Travaillez-vous pour une organisation ? Si oui, laquelle ?

En pensant à l’impact de votre travail, vous ressentez :

C’est profondément personnel et évolue avec le temps, il ne peut pas être capturé par des métriques de base.

Il s’agit d’améliorer les systèmes et les résultats, les données m’aident à mieux le faire.

Cela se reflète dans la vie des artistes ou du public avec lesquels je travaille.

Cela appartient à la communauté, ils définissent ce qui compte, pas seulement moi.

C’est amplifié quand je travaille avec d’autres, je mesure l’impact à travers les relations.

On vous donne un mur blanc et un budget. Quel est votre premier pas ?

Esquissez un concept, puis voyez qui d’autre veut contribuer ou co-créer.

Commencez à peindre ce que vous ressentez, laissez-le émerger de manière organique.

Demandez à la communauté quelle histoire ils veulent voir racontée.

Faites des recherches sur les peintures murales à travers l’histoire pour réfléchir à ce qui est le plus significatif.

Vérifiez les données antérieures pour savoir quels types de peintures murales ont reçu le plus d’attention ou d’engagement.

Comment abordez-vous actuellement la collecte et l’évaluation des données ?

J’essaie d’automatiser ou d’intégrer des données dans mon flux de travail, je veux qu’il soit efficace et perspicace.

Je recueille des retours de manière informelle ou à travers des histoires, c’est plus significatif de cette façon.

Je travaille avec des partenaires pour définir et mesurer notre succès commun.

Je lutte pour collecter des données qui reflètent vraiment la valeur culturelle de mon travail.

Je lutte avec les indicateurs, ils reflètent rarement la véritable profondeur ou philosophie derrière ce que je fais.

Quel est votre plus grand défi lorsqu’il s’agit de mesurer l’impact ?

Trouver le temps et les outils pour utiliser mes données efficacement.

Traduire un changement complexe et à long terme en indicateurs simples.

Veiller à ce que la voix de la communauté soit centrée, pas seulement sur les objectifs institutionnels.

Devoir privilégier la mesure de l’impact sur le processus créatif.

Aligner les objectifs et les indicateurs entre les organisations et les partenaires.

Laquelle de ces déclarations correspond le mieux à votre état d’esprit ?

Les métriques sont utiles, je veux savoir ce qui fonctionne et optimiser en conséquence.

L’art et la créativité viennent en premier, la planification et les métriques peuvent attendre.

La communauté est la priorité, leurs besoins façonnent ma définition du succès.

Je suis intéressé par la construction de coalitions et le langage partagé pour un impact.

L’impact se déroule lentement, je pense en termes historiques ou philosophiques.

On vous a demandé de rédiger un rapport de subvention. Que faites-vous en premier ?

Regardez mes indicateurs et construisez un récit convaincant avec des données concrètes.

Pensez à la façon dont le projet s’est ressenti, aux histoires qui ont été partagées et à la manière dont je peux décrire l’énergie.

Appelez des collaborateurs et des membres de la communauté pour obtenir leur avis.

Réfléchissez à la façon dont ce travail aborde des questions sociales plus profondes.

Revisiter les retours de la communauté et essayer d’améliorer les voix marginalisées.

Quelqu’un demande « À quoi ressemble le succès pour vous ? » Vous dites...

Quelqu’un demande « À quoi ressemble le succès pour vous ? » Vous dites...

Quand la communauté se sent vue et entendue.

Quand je peux faire quelque chose qui exprime vraiment ma vision.

Lorsque nous atteignons des jalons ensemble.

Quand je peux montrer le tableau d’ensemble et dire : cela importait.

Quand je peux le mesurer, le suivre et l’améliorer.

D’accord, maintenant parle-nous un peu plus de toi et de ta pratique ou organisation artistique ?

Pourquoi voulez-vous rejoindre l’évaluation de l’impact social dans le laboratoire d’action artistique ? Veuillez inclure des objectifs ou des résultats souhaités.