Quelle blessure émotionnelle gouverne encore ta vie ?

Nombre Max

Je me dis : "Personne n’en a rien à faire de ce que je propose."

Je rêve qu’une cliente vienne me chercher sans que j’aie besoin de m’exposer.

J’ai honte… j’entends la voix intérieure : "Elle se prend pour qui ?" si je poste ça.

Je me dis : "De toute façon, même si je le fais, les gens finiront par me décevoir."

Je rumine : "Pourquoi elles vendent tout et pas moi ? Ce n’est pas juste !"

Je publie quand même, imparfaitement, en me rappelant que c’est une étape de plus.

Je panique : "Elle va trouver ça trop cher, je vais passer pour une arnaqueuse."

Je me dis : "Si je baisse un peu, elle acceptera et elle ne disparaîtra pas."

Je culpabilise : "Qui suis-je pour demander ça ? Je ne vaux peut-être pas autant."

Je bouillonne : "Elles veulent toujours négocier, ça me dégoûte !"

Je rage intérieurement : "Certaines facturent 5 fois plus sans bosser autant, ce n’est pas juste."

Je respire et j’annonce mon prix en confiance, parce qu’il reflète ma valeur.

Je me dis : "Voilà, je ne suis pas à la hauteur, je n’aurais jamais dû me lancer."

Je ressens une peur panique qu’elle parte et me laisse tomber.

J’ai honte, je voudrais disparaître, comme si elle venait de me mettre à nu.

Je fulmine : "Encore une qui veut me descendre, elles veulent me saboter."

Je me dis : "Pourquoi ça tombe toujours sur moi, alors que d’autres font pire ?"

Je prends le temps d’écouter son retour et je décide de voir ce que je peux améliorer.

Je me dis : "C’est clair, personne ne veut de moi."

Je ressens un vide immense : "J’aimerais qu’on me choisisse moi aussi."

J’ai honte de mon "petit" business, je n’ose même plus en parler

Je me dis : "Elles trichent, elles mentent, c’est sûr, sinon ce n’est pas possible."

Je rage : "Ce n’est pas juste, je bosse 10 fois plus et j’ai 10 fois moins."

Je me rappelle que je suis sur mon chemin, avec mon rythme, et que ça ne me définit pas.

Je me dis : "Si je dis non, elle va partir, mieux vaut accepter."

Je me dis : "Au moins, si je dis oui, elle sera contente et restera."

J’ai honte à l’idée de paraître égoïste si je refuse.

Je fulmine : "Encore une qui essaie de me gratter, elles profitent toujours de moi !"

Je bouillonne : "Ce n’est pas juste, pourquoi c’est toujours à moi qu’on fait ça ?"

Je dis non avec calme et fermeté, en rappelant ce qui était prévu.