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Fais le test !
Découvre ce qui freine ton business... et libère enfin ton potentiel !

Quel rôle d'enfant dirige encore ta vie d'entrepreneur·e ?

Dès l’enfance, nous adoptons inconsciemment des rôles pour nous adapter à notre environnement familial et social. Petit à petit, ces rôles deviennent des automatismes, des façons d’être... mais qui, une fois adultes, peuvent nous limiter et freiner notre potentiel.

Ils nous poussent à nous oublier, douter de nous, procrastiner ou travailler sans relâche… sans forcément obtenir les résultats espérés.

Et si ces schémas influençaient encore tes choix et ta manière d’agir dans ton activité d’entrepreneur·e ? Ce test a été conçu pour t’aider à identifier le rôle d’enfant qui te guide encore aujourd’hui, parfois à ton insu.

Réponds sincèrement aux 28 questions suivantes. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse, juste une opportunité d’en apprendre plus sur toi-même et de voir comment te libérer de ce qui freine ton épanouissement professionnel.

À la fin du test, tu découvriras directement le rôle principal qui guide encore ta vie d’entrepreneur·e.

📝 Si tu te reconnais dans plusieurs réponses, choisis celle qui revient le plus souvent dans ta vie de tous les jours.

Prêt·e à découvrir quels rôles d’enfant façonnent encore ton parcours entrepreneurial ? C’est parti ! 🚀

Quel est ton prénom et nom ?

Quel est ton adresse email ?

1. Choisis les affirmations qui te reflètent le plus. (choix multiples)

Si je ne suis pas là pour aider, j’ai l’impression que les autres risquent d’échouer.

Je préfère échouer en restant moi-même plutôt que réussir en suivant des règles qui ne me conviennent pas.

J’ai tendance à attendre le bon moment avant de vraiment me lancer.

Avant d’oser passer à l’action, j’ai besoin d’être rassuré·e.

Quand je refuse une demande, j’ai le sentiment de décevoir l’autre.

J’ai l’impression que je ne peux pas réussir seul·e, j’ai besoin que quelqu’un me guide ou m'aide.

Je me sens plus à l’aise à imaginer des projets qu’à les concrétiser.

Quand je suis face à des règles et des normes, j’ai l’impression qu’elles m’enferment, alors je préfère faire autrement.

Quand je me rends trop visible, j’ai l’impression d’être jugé·e.

J’ai du mal à accepter qu’on me dise comment faire, car je trouve toujours ma propre voie.

Si mes clients ou partenaires rencontrent des difficultés, j’ai l’impression que c’est de ma responsabilité de l'aider.

J’ai peur que les autres se rendent compte que je ne suis pas aussi compétent·e.

Pour les questions 2 à 28, choisis la réponse qui te correspond le mieux.

2. As-tu une vision claire de ton activité ?

J’ai ma petite idée, mais j’ai des doutes. J’aurais besoin d’en discuter avec quelqu’un de confiance.

Je refuse de figer ma vision, je veux qu’elle évolue librement.

J’aime l’idée d’en avoir une, mais je repousse toujours le moment de la formaliser.

J’ai une idée claire dans ma tête, mais je préfère me concentrer sur mes clients que de prendre du temps pour l’écrire.

3. As-tu défini des objectifs précis à cout, moyen et long terme ?

Je sais où aller, mais je me focalise plus sur mes clients que sur mes propres objectifs.

J’ai des envies et des idées, mais poser des objectifs concrets me semble trop engageant.

Je préfère avancer en expérimentant et ajuster ma trajectoire au fil du temps, plutôt que de suivre un plan rigide.

Je me fixe des objectifs, mais j’ai tendance à les adapter en fonction des attentes ou des retours des autres.

4. Comment définis-tu la réussite dans ton activité ?

Faire ce que j’aime en gardant ma liberté.

Avoir la reconnaissance des autres.

Prouver que je peux réussir à ma façon.

Aider les autres avant tout, mon propre succès passe en second.

5. Comment vis-tu l’échec dans ton activité ?

Je ressens de la déception et de la frustration. Je me demande si j’aurais pu mieux aider.

Je ressens de la colère ou de la frustration, pas forcément contre moi, mais contre les obstacles qui m’ont freiné.

J’essaie de ne pas trop y penser. L’échec, ça me met mal à l’aise, alors je préfère me distraire et passer à autre chose plutôt que d’y faire face.

Je ressens de la culpabilité et du doute. Je me demande où j’ai échoué.

6. Te sens-tu légitime dans ton activité ?

Je ne me pose pas trop la question tant que personne ne vient remettre en cause ce que je fais.

La légitimité ne dépend pas du regard des autres, je me fais confiance.

Je doute souvent, surtout face à des personnes plus expérimentées. J’ai tendance à me comparer aux autres.

Oui, tant que j’aide mes clients, mais j’ai dû mal à parler de mes réussites.

7. Comment gères-tu ta motivation au quotidien ?

Voir mes clients progresser me motive, mais j’oublie parfois de m’écouter.

Je fonctionne beaucoup à l’inspiration et je m’emballe vite, mais j’ai du mal à rester constant·e.

Je me motive en me lançant des défis et en explorant de nouvelles approches.

Ma motivation fluctue selon les retours que je reçois. Si je ne vois pas de reconnaissance ou de progrès immédiat, j’ai tendance à me démotiver et à me remettre en question.

8. As-tu tendance à remettre certaines tâches à plus tard (procrastination) ?

Oui, surtout par peur de mal faire ou d’avoir le sentiment d’être jugé·e.

Oui, si une tâche n’a pas de sens pour moi.

Oui, quand il s’agit de passer à l’action, quand la tâche m’ennuie ou me paraît trop compliquée.

Rarement quand il s’agit de faire un travail pour un client. Mais souvent quand il s’agit de faire quelque chose pour moi ou que je me sens dépassé·e par la tâche.

9. Que ressens-tu à l’idée de déléguer une partie de ton travail ?

Je préfère tout gérer moi-même. Déléguer, c’est perdre du temps et de l’autonomie.

J’adore l’idée, mais par où commencer. Bon j’y penserais plus tard !

J’aimerais déléguer, mais j’ai du mal à lâcher-prise. Je trouve toujours une bonne excuse : pas de budget, pas la bonne personne, ou peur que ce ne soit pas à la hauteur de ce que j’imagine.

J’ai du mal à lâcher prise. Je veux être sûr·e que tout soit bien fait, alors je préfère le faire moi-même.

10. Comment réagis-tu lorsque les choses ne se passent pas comme prévu dans ton business ?

Q10

Je cherche à comprendre ce que je fais de travers. J’ai besoin d’avoir des retours extérieurs pour savoir ce que je dois faire.

Je me demande ce que je dois changer pour mieux répondre aux besoins de mes clients, même si ça me coûte personnellement.

Je refuse de me laisser enfermer dans ce qui ne fonctionne pas. Si ça bloque, c’est qu’il faut que je change de méthode ou que je contourne les règles.

Je suis vite démotivé·e et je repousse les choses en attendant un meilleur moment.

11. Comment te sens-tu face à la prise de décision dans ton activité ?

Q11

Facile quand ça concerne mes clients, mais pour moi, j’hésite, car j’ai peur de faire un choix égoïste ou qui ne conviendrait pas à tout le monde.

Je repousse souvent les décisions importantes. J’attends "le bon moment" ou que ça se règle tout seul.

Je décide vite. Je préfère suivre mon instinct que de perdre du temps à peser le pour et le contre.

Je retourne le problème dans tous les sens, car je veux faire le bon choix. J’ai souvent besoin d’un avis extérieur pour me rassurer et valider ma décision.

12. Comment gères-tu les obligations administratives ou légales de ton entreprise ?

Q12

J’aime bien faire les choses dans les règles, mais j’ai peur de me planter. J’ai besoin d’être rassuré·e avant de valider quoi que ce soit.

Je déteste ça et je trouve souvent des raccourcis. Si je peux contourner ou simplifier, je fonce.

Je repousse au maximum… jusqu’à ce que ce soit urgent. Dès que c’est trop complexe, je préfère ne pas y penser.

Je fais ce qu’il faut, même si ça me barbe. Ça me prend du temps et de l’énergie que je préférerais mettre ailleurs.

13. Quelle est ton état d’esprit face à la fixation du prix de tes produits/services ?

Q13

Je fixe mes prix comme je veux, sans suivre les standards. Je sais ce que ça vaut et j’assume.

J’ai mis un prix un peu au hasard et j’évite d’y penser. J’ai peur de mettre trop cher et de faire fuir les clients.

Je veux que ce soit accessible, alors j’ai du mal à fixer un prix élevé. Je fais souvent des réductions.

Je doute souvent de mon prix et j’ai besoin d’avoir des retours. J’ai tendance à trop le justifier aux clients.

14. Comment te sens-tu avec l’idée de prospérer financièrement grâce à ton activité ?

Q14

Pourquoi pas, mais je ne me projette pas vraiment. J’avance en espérant que ça marche.

Oui, mais pas au détriment de ma liberté. Je veux réussir sans rentrer dans un cadre rigide.

J’aimerais, mais j’ai besoin que ce soit aligné avec mes valeurs. Je veux que ça reflète la valeur de mon travail.

Ce serait bien, mais je veux avant tout aider. Tant que je peux en vivre, ça me suffit.

15. Comment gères-tu les finances de ton business ?

Q15

Je fais attention, mais j’ai du mal à me payer correctement.

Je gère au jour le jour sans vraie stratégie.

L’argent ne doit pas devenir une contrainte.

Je surveille mes finances, mais j’ai souvent l’impression que mes revenus ne reflètent pas l’ampleur de mon travail. J’ai du mal à prendre des décisions stratégiques.

16. Comment abordes-tu les conflits dans ton activité professionnelle ?

Q16

Je vis mal le conflit. J’ai du mal à dire non et à m’imposer. J’ai peur que ça abîme mes relations. J’ai besoin de prendre du recul avant de réagir.

Je n’ai pas peur du conflit. Si je pense avoir raison, je défends mon point de vue.

J’évite autant que possible. Si ça chauffe, je me retire discrètement.

J’essaie de calmer le jeu et de contenter tout le monde, quitte à m’effacer.

17. Quelle est ta réaction lorsqu’un client critique ton travail ?

Q17

Je le prends à cœur et je fais tout pour corriger le tir, peu importe l’effort.

J’essaie de minimiser ou d’esquiver, mais au fond, ça me fait douter.

Les critiques me touchent profondément et je cogite beaucoup dessus. Je vais avoir besoin d’en parler pour être rassuré·e.

Si c’est constructif, j’écoute. Sinon, je défends ma vision sans problème.

18. Comment réagis-tu lorsque l’on te fait un compliment sur la qualité de ton travail?

Q18

J’accepte sans souci, mais je n’en ai pas besoin pour avancer. Tant que je suis aligné·e, c’est juste un bonus.

Ça me fait du bien et ça me rassure, mais j’ai parfois du mal à y croire et j’ai tendance à minimiser.

Ça me touche, mais j’ai du mal à le prendre pour moi. Je préfère mettre en avant ceux que j’ai aidés.

Je souris, je fais une blague pour détourner, comme si ce n’était rien. Mais au fond, ça me fait plaisir.

19. Comment organises-tu tes journées de travail ?

Q19

J’aime avoir un cadre, mais j’ai du mal à structurer seul·e. Un planning précis ou des repères concrets m’aident à rester efficace.

Je déteste la routine, alors je m’organise de façon souple. Je préfère adapter mes journées à mon énergie et mon inspiration.

J’essaie d’être organisé·e, mais je me laisse souvent happer par les demandes des autres. Mes priorités passent après, et je finis parfois en mode urgence.

Je fonctionne au feeling. J’aime suivre mes envies du moment… quitte à procrastiner les tâches importantes.

20. Comment te sens-tu par rapport à la vente de tes produits/services ?

Q20

Je préfère que mon travail parle de lui-même. J’ai du mal avec l’idée de "forcer" quelqu’un à acheter, alors ça me met parfois mal à l’aise.

Je repousse le moment de vendre, en espérant que ça se fasse tout seul. J’utilise souvent l’humour, mais ça m’empêche parfois de conclure réellement.

Je sais que c’est essentiel, mais j’ai du mal à m’affirmer. J’ai peur qu’on trouve mes prix trop hauts ou qu’on remette en question la valeur de mon travail.

Je vends à ma façon, sans techniques classiques. Si ça plaît, tant mieux, mais je ne me plie pas aux codes du marketing.

21. Comment gères-tu la facturation et les relances en cas de retard de paiement ?

Q21

J’ai du mal à être régulier·e. J’oublie parfois d’envoyer mes factures et je repousse les relances, en espérant que le client paie de lui-même.

J’envoie mes factures, mais relancer me met mal à l’aise, surtout si le client est en difficulté. Je préfère patienter, quitte à mettre mes finances en danger.

J’envoie mes factures sérieusement, mais si un paiement tarde, je me demande si c’est moi qui n’ai pas facturé correctement. J’hésite à relancer trop vite, de peur de froisser le client.

J’envoie mes factures, mais je déteste perdre du temps avec ça. Je relance une fois, et si le client abuse, je n’hésite pas à être cash ou à couper les ponts.

22. Comment équilibres-tu ta vie privée et ta vie professionnelle ?

Q22

Mon travail s’adapte à ma vie, pas l’inverse. Je peux bosser tard et prendre du temps libre en journée, tant que ça me va.

J’aimerais mieux séparer les deux, mais j’ai du mal à décrocher. Même en pause, je me mets la pression comme si je n’en faisais pas assez.

Je n’ai pas vraiment de frontière. Parfois, je bosse sans voir le temps passer, et d’autres jours, j’ai du mal à m’y mettre. Je suis mon humeur.

J’ai du mal à poser des limites. Même en dehors du boulot, je pense à mes clients, je réponds aux messages… Je sacrifie mon temps perso sans m’en rendre compte.

23. T’accordes-tu du temps pour toi ?

Q23

Oui, car j’en ai besoin, mais je culpabilise. J’ai l’impression que je devrais aider quelqu’un ou faire quelque chose d’utile à la place.

J’adore ça, mais je peux me laisser happer par mes distractions et ne pas voir le temps passer.

C’est essentiel et non négociable.

J’aimerais en prendre plus, mais j’ai du mal à ne rien faire sans ressentir une pression. Je finis souvent par penser à tout ce que je dois encore accomplir.

24. Comment vis-tu l’appartenance à un réseau professionnel d’entrepreneurs ?

Q24

J’adore échanger, écouter et encourager les autres. Mais je parle rarement de mon propre travail et mets plus en avant les autres que moi.

Ça me rassure d’être entouré·e, mais je me compare aux autres et me demande parfois si j’ai vraiment ma place.

Contente d’être là, mais plutôt en retrait. J’observe, j’écoute, mais j’ai du mal à prendre la parole ou à me mettre en avant.

Curieux·se de découvrir, mais je ne veux pas rentrer dans un cadre trop rigide. Je prends ce qui me parle sans trop m’attacher au groupe.

25. Comment gères-tu ta présence et ta visibilité sur les réseaux sociaux ?

Q25

Je préfère partager des conseils que parler de moi.

Je refuse de me plier aux algorithmes et préfère être authentique.

Je poste de manière irrégulière, selon mon inspiration du moment.

J’hésite parfois à publier, de peur que ça ne plaise pas ou que ça ne génère pas assez d’engagement.

26. Quelle importance accordes-tu à la formation continue dans ton parcours entrepreneurial ?

Q26

J’apprends en autodidacte, à ma façon. Je préfère tester directement des idées plutôt que de suivre une formation traditionnelle.

J’aime découvrir de nouvelles choses avec une préférence à picorer ici et là des informations.

J’adore apprendre surtout si c’est utile à mon client.

Je me forme souvent, car j’ai besoin de me sentir à la hauteur dans mon domaine. Et j’ai l’impression d’avoir besoin de plus avant d’appliquer ce que j’ai appris.

27. Comment intègres-tu l'authenticité dans ta communication avec tes clients ?

Q27

J’aime rester naturel·le, mais je manque parfois d’affirmation. Je peux rester vague pour éviter de trop me mettre en avant.

C’est essentiel, je veux une vraie connexion. Mais parfois, j’adapte mon discours pour éviter les tensions ou préserver l’autre, quitte à m’effacer.

Je cherche à être vrai·e dans ce que je dis, mais j’ai souvent peur d’être mal compris·e, ou jugé·e. Alors j’ajuste mon discours pour qu’il soit bien perçu.

Pour moi, être authentique, c’est parler sans filtre. Si ça ne plaît pas à tout le monde, tant pis.

28. Comment gères-tu tes émotions dans ton business ?

Q28

Je les ressens profondément, mais je les transforme en action pour avancer ou changer ce qui ne me convient pas.

Je ressens beaucoup les émotions, surtout celles des autres. J’ai parfois du mal à les dissocier des miennes. J’essaie de rester pro, mais je peux me laisser parfois submerger.

J’ai du mal à prendre du recul. Une critique ou un échec peut me toucher profondément, et j’ai besoin d’en parler pour mieux gérer.

J’évite de trop y penser. Si je suis stressé·e ou dépassé·e, je me distrais ou repousse ce qui me met mal à l’aise.

Bravo, tu es allé·e au bout de ce test ! 🎉

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